Trop pressé

Drame de Strépy-Bracquegnies: je n’en peux plus de voir et d’entendre depuis dimanche des reportages et des articles qui ne sont que des rappels, des redites et des resucées de données inintéressantes pour garder en haleine les spectateurs.

Je veux bien que la presse veuille tenir les gens au courant de la situation mais nous balancer sans arrêt des émissions spéciales et des titres pour, au final, ne rien dire qui en vaille la peine, c’est vraiment se foutre du monde, se moquer de la détresse des victimes de ce drame, et démontrer que les media pensent plus à faire de l’audimat que de se soucier du contenu.

Triste, vraiment triste.

Mitigé

20 mars

Et encore une victoire facile. Trop facile, même, notre deuxième mi-temps fut vraiment désastreuse, incapables de prendre avantage de notre domination.

Le point d’orgue fut ce pénalty encaissé sur une totale mésentente dans la défense, surprise par une annonce imperceptible de l’arbitre et dont l’adversaire, très fairplay, ne se priva pas de profiter pour revenir au score.

Heureusement que nous avons pu garder la maîtrise du jeu et terminer sur un 3-1 mérité, malgré notre plus mauvais match de la saison.

Jardinage

19 mars

Le beau temps est de retour, c’est le moment de nettoyer la terrasse, un peu trop verduie par les mousses cet hiver, et de faire briller le fer forgé couvert de poussières diverses.

Et puis, visite de pépiniéristes, il nous fautv remplacxer certaines plantes, comme nos Gaura, qui n’ont pas suffisamment pris racines ou n’ont pas supporté l’hiver. On verra si la nouvelle saison nous sera plus bénéfique, à moins que ce ne soit notre main de plus en plus verte.

Rabâchage

Est-ce que la presse pourrait arrêter de nous remettre chaque jour, voire plusieurs fois par jour, un article parlant des exigences de Poutine dans les pourparlers avec l’Ukraine?

Depuis le début, ce sisnistre individu n’a pas changé d’un iota son discours, répétant toujours les mêmes demandes inacceptables. Comment peut-on parler de négociations quand une des parties veut que tout lui soit accordé, sans exception ni changer une virgule. Et il ose même dire quer c’est l’Ukraine qui freine le processus.

Poutine n’a aucune raison d’assouplir sa poistion, d’abord parce qu’il a envahi le pays et que personne ne semble capable de l’en faire sortir. Ensuite parce qu’il est sûr de son bon droit, lui l’ardent défenseur des pro-russes brimés et soumis aux milices « nazies ». Et enfin parce que son ego ne peut lui faire accepter la moindre renonciation qui serait un signe de fauiblesse.

Quand il y aura eu compromis de part et d’autre, un article sera le bienvenu. En attendant, faire du texte pour le plaisir de ressasser les mêmes mots, ça commence à me gaver.

Sable fourbe

17 mars

Mais que c’est joli ce ciel orangé grâce au sable du Sahara, ça fait de belles photos souvenirs le ski sur une neige colorée, c’est rigolo les voitures et jardins recouverts d’une fine couche de poussière venue des tempêtes d’outre-méditerranée.

Mais, derrière le joli spectacle, il y a une réalité bien plus terrible : une pollution radioactive, selon Pierre Barbey.

Spécialiste de la radioprotection à l’Université de Caen, il explique pourquoi le sable du Sahara, porté par des vents jusqu’en France, contient des particules radioactives.

Les quantités de césium 137 mesurées en France sont « assez faibles » et « l’objet, n’est pas de dire qu’il y a une mise en danger de la population mais de rappeler un peu quelle est l’origine et la responsabilité de la France dans ces essais nucléaires« , puisque « même si pour nous qui sommes très loin du Sahara, il y a une exposition qui est très faible, ce n’est pas du tout le cas des populations avoisinantes« , précise-t-il, des populations qui « vivent dans ces régions et qui, il y a 60 ans, y ont subi des expositions extrêmement importantes » selon ce spécialiste de la radioactivité.

Comme quoi, parfois, les fantômes des erreurs du passé peuvent assombrir le ciel des responsables.

Juste juste

16 mars

Lorsque la guerre sera finie, et j’espère que les négociations aboutiront bien vite, je pense qu’il serait juste que les avoirs russes saisis servent à reconstruire l’Ukraine. Hélas, j’ai bien peur de me bercer de douces illusions, Poutine, et toute la clique qui le supporte, récupéreront leurs billes et laisseront le pays martyrisé s’endetter pour sortir la tête hors de l’eau.

Sans compter tous les autres dégâts économiques causés par le conflit dans le reste du monde : flambée des prix de l’énergie, augmentation dramatique du prix des denrées en Afrique, pénurie de matières premières et alimentaires, et j’en passe.

Peut-on laisser la Russie sortir sans dommages, et même avec un bénéfice si le contrôle des territoires pro-russes lui sont accordés, et faire payer les victimes ?

Misère de l’énergie

15 mars

Tinne Van der Straeten : « Les mesures permettront à une famille d’économiser 300 euros par an ».

Une belle initiative, passer à la TVA sur le gaz à 6% : mais pourquoi le faire d’avril à septembre soit quand la plupart des personnes consomment moins voire pas du tout de gaz ?

En fait, c’est même carrément une plaisanterie : selon un fournisseur d’énergie, une facture de provision pourrait passer de 170 euros par mois à 400 euros par mois. Petit calcul : 400 – 170 = 230 x 12= 2760 euros de plus à payer en 2022. Allez, merci Tinne, plus que 2460 euros à trouver !

Au fait, au sujet de cette hausse qui joue quotidiennement au yoyo quotidien, arrêtez de nous faire croire qu’il s’agit des conséquences de la guerre en Ukraine alors que ce n’est explicable que par la spéculation.

Qui peut croire que les contrats en gaz, pétrole, électricité et autres énergies sont établis au jour le jour ? Comme cela a déjà été dit, il y a au moins 45 jours de décalage entre le prix d’achat des sociétés pétrolières et le prix de vente à la pompe.

Tant qu’il y aura des moutons pour se laisser tondre, les bergers belges vivront de beaux jours.

Humour Vladinoir

Des pourparlers ont commencé entre la Russie et l’Ukraine ce lundi. Pendant ce temps, les combats continuent. La Russie a admis pour la première fois que l’invasion ne se passait pas conformément aux plans. Evidemment,quand on s’auto-persuade qu’on est une puissance mondiale, sauveuse des russophones, et qu’on se rend compte que les Ukrainiens sont plus coriaces et que lesdits russophones ne vous accueillent pas les bras ouverts, on devrait se dire qu’il a une erreur de jugement, quand on en est capable…

«Le ministère de la Défense, pour assurer la sécurité maximale des populations civiles, n’exclut pas la possibilité de prendre le contrôle total des grandes villes qui sont déjà encerclées», a indiqué le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, assurant que le président Vladimir Poutine n’avait jusqu’ici pas ordonné de mener d’assaut.

Mais quelle magnanimité, il ne va pas, tout de suite, poursuivre sa destruction des villes, tout cela pour la sécurité des populations civiles… Lesquelles? Celles qu’il ne traitera pas de nids de nazis, ou celles qui auront survécu à ses précédents bombardements ou tout simplement celles qu’il pense de son côté?

Espoir toujours

13 mars

Et on en remet une couche, cette fois-ci d’autres on fait le show en laissant s’échapper, parfois violemment, ces gestes interdits, dans une libération certes incomplète mais qui indique que les choses évoluent, même lentement, au fil des semaines.

Alors je ne me formalise pas que les exercices d’aujourd’hui n’aient pas aboutis, je n’arrivais pas à rester connecté à mes sensations>.

Chacun d’entre nous aura son moment de libération, maintenant, demain ou peut-être l’année prochaine, lors du troisième niveau…

Tension et relâchement

12 mars

Et voilà, c’était ma journée, poussé dans mes retranchements, j’ai laissé venir en moi cette impuissance, suivie d’une rage envers moi-même de ne pas réagir par la lutte. J’ai eu du mal à ne pas craquer, j’étais au bord des larmes, mais l’exercice ne pouvait pas aller plus loin.

La soirée, une pizza, et surtout du vin, entre amis, a bien été utile à la moitié des convives, bien ébranlés par les tensions de la journée de formation.