Rêvons un peu

L’Europe et ses alliés au rendez-vous de l’Histoire?

L’Occident est au combat avec le Kremlin, même s’il ne lui a pas officiellement déclaré la guerre.

Après quelques heures d’hésitations, d’arguties et de calculs d’intérêts, depuis ce week-end, c’est un front uni des Européens entre eux, et des Européens avec les Américains, les Britanniques, les Nippons et les Canadiens, qui est passé à l’offensive. Le but est de soutenir les Ukrainiens dans cette guerre folle que la Russie leur a déclarée. Mais il s’agit bien au-delà pour cette coalition, d’anéantir le pouvoir de l’homme qui met en péril la stabilité du monde libre et la pérennité des valeurs démocratiques en osant le retour de la guerre en Europe.

Vaste programme! L’Europe sera-t-elle enfin à la hauteur de ses désirs de paix et de défense de la démocratie?

Presse à sensation forte

27 février

Est-ce vraiment intelligent de la part d’une journaliste d’un journal télévisé de jouer sur la peur?

Le premier ministre qu’elle interrogeait a dû par deux fois répondre par des propos calmes et rassurants à sa question: nous rapprochons-nous d’une guerre nucléaire?

Les propos de Poutine sont certes menaçants mais il ne les a prononcés que pour indiquer à l’OTAN que, même si la Russie pouvait sembler affaiblie, elle avait de quoi répondre à toute agression.

Mais en quoi est-il pertinent de parler de troisième guerre mondiale et de guerre nucléaire alors que, jusqu’ici, il ne s’agit que d’un conflit local que personne, même pas Poutine, n’a envie de voir s’étendre?

A moins que la journaliste n’ait des informations intéressantes sur l’état de santé mentale du présdident russe, je pense qu’on peut, pour l’instant, plus s’intéresser au sort des Ukrainiens qu’à notre petite crainte égoïste de la bombe.

Ooooh soleil soleil

26 février

Enfin un beau weekend!

Même s’il fait un peu froid, les gens semblent revivre et ça faisait longtemps que je n’avais plus vu autant de personnes en promenade, sur les terrasses ou sur les marchés.

Ça met vraiment du baume au coeur en cette période agitée et incertaine.

Un échelon plus haut

Son discours des jours précédents avait déjà des accents de folie, à parler de « dénazifier » l’Ukraine — dont le Président Zelensky est juif! — et de génocide anti-russe dans le Donbass, mais maintenant on peut raisonnablement penser que Poutine n’a plus toute sa tête. En être à menacer militairement la Finlande et la Suède — 2 pays de l’Union Européenne — et d’user de l’arme nucléaire envers ceux qui s’interposeraient, c’est dire qu’il manque plusieurs cases dans la tête à Vladimir.

Pourtant, c’est peut-être là qu’il y a un espoir. Soit que le peuple russe, qui n’est sans doute pas pour la guerre contre l’Ukraine, se soulève massivement pour le virer, soit que son gouvernement le mette en « incapacité de gouverner » pour cause de santé mentale. Les deux sont hautement improbables, mais qui sait…

Intentions clarifiées

Le président russe Vladimir Poutine a appelé vendredi les militaires ukrainiens à «prendre le pouvoir» à Kiev en renversant le président Volodymyr Zelensky et son entourage, qu’il a qualifiés de «néonazis» et de «drogués». «Prenez le pouvoir entre vos mains. Il me semble qu’il sera plus facile de négocier entre vous et moi», a lancé M. Poutine à l’armée ukrainienne dans une intervention retransmise à la télévision russe.

Voilà qui met un bon éclairage sur l’objectif initial de Poutine: faire tomber le gouvernement légitime et le remplacer par un fantoche pro-russe.

Impuissance chérie?

La guerre est là et les bruits de bottes résonnent des deux côtés de la frontière. Face à la menace d’une invasion russe, concrétisée ce jeudi au milieu de la nuit, l’Ukraine a rappelé dès mercredi tous ses réservistes, de 18 à 60 ans. Les officiers et militaires de rangs sont appelés à rejoindre leur unité d’origine, si besoin.

Face à l’immense Russie et à la hargne de Vladimir Poutine, la «petite» Ukraine peut-elle tenir les rangs dans une guerre de grande ampleur?

Les réactions outrées se succèdent un peu partout à travers le monde alors que la portée complète de l’opération militaire reste inconnue. On a eu tort de ne pas croire les Etats-Unis quand ils ont prévenu de l’imminence d’une offensive russe, mais l’Europe et/ou l’OTAN sont-ils capables de, et prêts à, entrer dans le conflit? Devant l’échec prévisible de la diplomatie, pourra-t-on faire autre chose que s’indigner, menacer de loin ou prendre des sanctions ?

Les Européens ne sont que de pauvres végétariens face au carnassier Poutine.

Ours sans peluche

Plusieurs institutions ukrainiennes sont les cibles d’une cyberattaque de grande ampleur.

Bizarre, non, ce hasard malheureux? Les Russes, que l’on sait absolument nuls pour organiser des cyberattaques, ne sont absolument pas responsables, ils n’ont aucune intention de se prendre à l’Ukraine, ils ne veulent que sécuriser leurs concitoyens maltraités par les Ukrainiens.

Et puis, c’est certain, les régions de Donetsk et Lougansk n’ont aucun intérêt économique ou stratégique pour la Russie, c’est donc bien pour préserver la paix qu’ils déploient leurs forces militaires…

Bientôt le prix Nobel pour Poutine?

Misère verte

22 février

Tensions en Ukraine : hausse du prix de l’électricité et du gaz naturel en Belgique. Mardi, le gaz naturel est également plus cher puisque son prix augmente en moyenne de 7,5%.

Houhou, les écolos, vous suivez l’actualité? Vous avez une solution pour l’avenir ou vous préférez continuer le jeu de l’autruche ?

Malgré cela, et d’autres signaux clairs, on continue à tergiverser sur le maintien des centrales nucléaires les plus récentes. Etrange, non? On comprend mieux que cela relève du dogmatisme et/ou du lobbying quand on imagine l’attachement de la Ministre fédérale de l’énergie à son ancien job. Jusqu’en 2019 elle était avocate pour le cabinet Blixt spécialisé dans les dossiers énergétiques, Blixt qui a défendu la cause de certains acteurs comme WINGAS/Gazprom.

Doit-on s’étonner d’un quelconque conflit d’intérêt de cette élue Groen dans les dossiers où il faut choisir entre nucléaire et gaz? Pas en Belgique voyons, pays où l’on sait que les ministres font preuve d’une parfaite intégrité et ne recherchent que le bien-être des habitants.

Pas que du vent

Après la tempête Eunice, c’est au tour de Franklin de balayer la Belgique et ses pays voisins lundi après-midi depuis le littoral, tandis que des bourrasques continueront à secouer le territoire, avec des pointes pouvant atteindre jusqu’à 110 km/h à la côte, selon les prévisions à la mi-journée de l’Institut royal météorologique (IRM).

Quant aux averses, elles pourront être « intenses, orageuses et accompagnées de grésil ». Quelques chutes de neige seront par ailleurs possibles sur le relief.

Faut-il s’attendre à une augmentation de la fréquence de ces catastrophes naturelles avec le réchauffement climatique? Je ne m’engagerai pas sur ce sujet, n’étant pas climatologue, mais je le redoute.

20 février

Match contre une des plus faibles équipes du championnat, mais les débuts sont plutôt laborieux, il faudra l’entrée en jeu d’un milieu remuant pour faire plier la défense adverse et entamer le marquoir.

Après, on déroulera tranquillement, les buts s’accumulant, et moi espérant la clean sheet, jusqu’à ce que mon libéro me plante un couteau.. pardon une mauvaise passe au centre avant adverse qui ne se prive pas de me dribbler et planter leur unique goal.

Râlant, surtout que peu après, je fais un magnifique arrêt sur un shot puissant d’un autre attaquant, et stoppe deux fois un penalty.