Un coup dans l’eau

Une fois n’est pas coutume, on prend les gens pour des cons!

La FEB réplique aux accusations du PCB (certaines grosses entreprises ne paient pas d’impôts) par un étude faite sur 130000 entreprises (dont certaines grosses sont exclues) pour nous sortir une moyenne de 26% d’impôts payés par les sociétés. MDR!

D’abord, une moyenne ne veut rien dire sans les extrêmes inférieur (les entreprises qu’on veut connaître) et supérieur (celles qu’on peut plaindre). Et le PCB ne parlait pas en général mais en particulier des grosses sociétés qui éludent l’impôt.

Ensuite, cette moyenne semble démontrer, comme pour les particuliers, que ce sont encore les PMEs qui paient le maximum d’impôts pour rattraper ce que les multinationales ne font pas entrer dans les bourses de l’état.

Enfin, défendre ses partenaires, c’est bien, mais la FEB devrait comprendre qu’en nos temps de crise, il sera plus payant de se montrer honnête et transparent que de noyer le poisson.

 

 

Réflexion et courage politiques

27 février

Quand on entend toutes les rumeurs de taxes et autres plaisanteries que l’état va devoir pondre pour trouver les 2 milliards qui lui manquent, on ne peut que s’inquiéter de le voir toujours se tourner vers les revenus faibles ou moyens pour leur vider les poches, sous prétexte que les plus riches (privés ou entreprises) vont avoir peur et fuir vers d’autres cieux.

Que l’état se rassure: ceux qui le veulent et le peuvent sont déjà partis ou ont trouvé des parades à la taxation!

Il y a cependant certaines manières d’affecter uniquement les plus riches: par exemple, augmenter les taxes sur les produits de luxe. Il n’y a qu’eux qui peuvent se les permettre et, vu leur propension au paraître, ils seront encore plus enclins à se les payer car vraiment plus chers.

Mais qui osera le proposer?

Fin de week-end

Enfin la reprise du championnat!

Trois mois qu’on ne jouait pas à cause de l’hiver, les terrains gelés ne conviennent vraiment pas aux balles dures. Le temps était idéal, les adversaires sympas et le bilan est d’une victoire et une défaite: pas mal quand on voit le niveau largement supérieur de l’équipe qui nous a battu.

Et, pour finir en beauté, on a mis le point quasi final au TFE de la petite. Il ne reste plus qu’à faire une dernière relecture, pour écrémer et ne laisser que le bon et l’important. Et de se trouver un sujet non écrit pour la présentation orale.

Journée au petit trot mais productive!

Lendemain de veille

25 février

La journée a été particulièrement dure.

La répétition s’est prolongée jusque tard dans la nuit, il fallait bien se préparer pour la soirée de la semaine prochaine. Bloc-notes fait de rares prestations et il ne faudrait pas que celles-ci soient ratées.

Mais, malgré cela, il a fallu se bouger pour préparer le repas d’anniversaire de la grande, qui fut heureusement un franc succès, sans trop de chichis (une raclette) et sans prolongation tardive (minuit au lit).

Ouf, on y est arrivé…

Ma que bella!

24 février

17 ans!

Ma fille a dix-sept ans, je ne vais pas dire que cela me fout un coup de vieux, mais quand même, en la voyant devenue si belle et si femme, on ne peut s’empêcher de penser que le temps a passé bien vite.

Soupir, soupirs…

Peur de partir

Partir ou ne pas partir, il y a sûrement une solution.

Quand on a passé plusieurs bonnes années dans une entreprise et que, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, on se sent mal et pense à chercher son bonheur ailleurs, comment savoir si l’on prend la bonne décision.

D’abord, on ne va rien dire, de peur de se discréditer auprès de ses supérieurs et de faire peur à sa famille.

Ensuite, on étudie mollement le marché jusqu’à ce que l’opportunité qu’on ne peut manquer se présente. Et alors…

On doute, on tergiverse, on y répond du bout des lèvres, j’y vais, j’y vais pas, je saute le pas…

Allez, je me lance, ce n’est jamais qu’une première interview, je ne m’engage à rien.

Et voilà, c’est l’engrenage diabolique, car une fois entamé le processus de sélection, comment va-t-on s’en libérer sans se griller auprès des possibles employeurs ou recruteurs.

Et enfin, sur quelles bases choisir? Le salaire, les incentives, les possibilités de promotion, l’équipe à intégrer, le job (toujours décrit trop succinctement)? Et comme le demande souvent les interlocuteurs, quelle sera la motivation pour changer d’emploi?

Et là, je dois dire que je cale un peu. Pourvu que je n’égare pas…

 

Soupe au lait ou aux nouilles

Peut-être ma fille a-t-elle raison lorsqu’elle me sermonne après un pétage de plomb ? Ou peut-être pas ?

D’accord, sortir de ma voiture pour aller demander des explications au conducteur qui m’énerve, ce n’est pas la meilleure chose à faire, les abrutis resteront toujours des abrutis tant ils sont persuadés d’avoir raison et d’être les meilleurs conducteurs du monde.

Certes, je ne suis pas toujours un exemple de comportement respectueux du code de la route, mais ma préoccupation principale reste de respecter au mieux les autres conducteurs, et de même, les panneaux routiers (sauf pour les inepties que certaines autorités sèment par ci par là).

Mais la route est-elle devenue tellement peu sûre que je doive craindre qu’un jour la partie fautive ne trouve comme seul argument ou réplique un coup de poing ou de boule, voire un coup de couteau ou de feu ?

Rien que cette idée dans la tête de nos enfants symbolise parfaitement le sentiment d’insécurité latent que nos chers dirigeants tentent de minimiser dans leurs discours politiquement corrects.

Alors, dois-je redouter que, dans un futur pas trop lointain, je risque ma vie à vouloir défendre mes valeurs de respect mutuel des usagers de la route ? Devrai-je museler mes pulsions de justicier pour tolérer et laisser faire ?

La vitesse, ça encaisse

Méfiez-vous, l’état et les régions ont besoin d’argent et l’une de leurs victimes préférées reste l’automobiliste.

Je ne parle pas des taxes, accises et autres joyeusetés dont l’état raffole, mais tout particulièrement de ces petits boîtiers électroniques en tous genres qui garnissent les bords des autoroutes ou les avenues citadines et flashent à tout-va.

Grande va être la tentation de multiplier les contrôles, sans relation aucune avec la sécurité routière…

Addicts in conflict

Le prix de l’essence atteint encore une fois une valeur record mais ce n’est certainement pas le dernier.

Lorsqu’on prête attentivement l’oreille aux actualités mondiales, notamment les menaces de l’Iran, on ne peut que conclure que la crise de l’énergie va embellir et prospérer.

Pourvu que la dépendance des uns à l’inconscient religieux et des autres à l’inconscience économique ne débouche pas sur une bataille non-verbale.

Tends l’oreille que je te la tire un peu (mais pas trop)

Je regardais par hasard les guignols de l’info, et ils parlaient de la réactions molle des nations européennes (et autres) aux massacres perpétrés par le pouvoir syrien sur les populations civiles.

Cet avion avec une banderole disant que le président était très méchant m »a bien fait rire… alors qu’il faudrait plutôt en pleurer.

C’est vrai que jusqu’à présent, avec de belles résolutions et des menaces dans le vide, on n’a rien vu d’efficace et les exactions se poursuivent sans discontinuer. Merci la Chine et la Russie. Merci les pays incapables de s’entendre sur une intervention décisive.

Il ne faut donc pas s’étonner que, de son côté, l’Iran monte le ton, ça marche toujours devant les indécis et les peureux.