Thikem's Blog

Pour ne pas cesser d'écrire

Vérité partielle

Derrière les chiffres des féminicides, des visages et un continuum de violences contre les femmes. Deux femmes chaque mois perdent la vie parce qu’elles étaient des femmes. Derrière cette longue liste glaçante se dressent des meurtres d’une extrême violence et un problème sociétal de grande ampleur.

N’est-ce pas exaspérant de lire une énième présentation sexiste !

Bien entendu, la violence physique est totalement inadmissible, mais représente un pourcentage extrêmement faible des conflits familiaux larvés. Il serait grand temps aussi de regarder que lorsqu’il y a des tensions dans un couple, il est vain de vouloir présenter l’homme comme l’insupportable prédateur systématique, et la femme comme la pauvre victime tout aussi systématique. Même si plus de 90% des meurtres dans le couple sont le fait des hommes.

Il y aussi des femmes qui giflent leur mari pour un oui pour un non, qui les dénigrent en privé, en public, les insultent, les trompent, les dépouillent, et font tout pour les priver de leurs enfants. Pour corriger ce type d’affirmation, il est plus correct de la mettre en style inclusif plutôt qu’à charge de l’homme:  » L’agresseur h ou f va enlever tout ce qui fait que le/la partenaire peut avoir un équilibre émotionnel, psychologique, social pour l’empêcher de réagir quand il/elle exerce son contrôle. Tout ce qu’il/elle aime faire, ce dont il/elle a besoin, ses activités, son travail parfois, jusqu’à son identité, il/elle les lui enlève « , car les femmes font cela très bien aussi : éloigner l’autre de sa famille, de ses amis, etc …

Un internaute a assisté au tribunal à une scène édifiante : une avocate demandait des reports d’audience dans trois dossiers de séparation, tout en demandant des mesures provisoires d’éloignement du père pour agression sexuelle ! Et là, la présidente s’emporte et hurle à l’avocate qu’elle en a ras-le-bol de ne trouver dans ces demandes de mesures d’urgence, et de manière récurrente, aucun élément tangible, main courante, plainte, témoignages fiables, pour étayer celles-ci. Elle a accordé aux trois pères leur droit de visite, et a conseillé à l’avocate de s’abstenir à l’avenir !

Oui, les femmes savent qu’elles peuvent accuser sans preuve, elles auront le bénéfice du doute, même si ce n’est que provisoirement. Et ensuite, tant pis si la vie du père est brisée.

C’est dans la recherche des causes profondes de ces comportements que l’ on trouvera, avec honnêteté intellectuelle, les « explications » d’événements sociologiques. Pas en donnant une définition « ad hominem » à ceux-ci. Le code pénal, mis à jour par la commission parlementaire, ne retiendra pas le terme « féminicide »mais confirmera l’homicide « action de tuer un être humain ». L’ article du media en ligne tourne autour du pot à ce propos.

Pour faire avancer la cause légitime des victimes, l’attitude doctrinaire et partisane est sans effet. Lisez les décisions du parquet de BXL dans cet esprit d’ honnêteté intellectuelle.

On peut trouver ridicule cette définition de féminicide “des femmes tuées parce qu’elles sont des femmes”. Elles sont tuées parce qu’elles sont les femmes d’un homme violent. Un braqueur qui tue la patronne d un salon de beauté n’est pas un féminicide, un fils qui tue sa mère non plus, mais les victimes sont aussi des femmes.

La persistance du féminicide/homicide, quel que soit le jargon utilisé, demeure un problème général. Les femmes pourraient apprendre à se défendre contre ces hommes dangereux, ou à les fuir et, lorsqu’elles les dénoncent, la police devrait pouvoir mieux les protéger.

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Et ça continue

26 février

Il ne faut pas croire que le séjour s’arrête là.

D’abord, avec de sympathiques vignerons du coin, nous avons organisé en fin de matinée une petite visite des vignes et de leur petit atelier de production ; nous repartirons avec des informations sur la taille des vignes et, après dégustation, quelques bouteilles de champagne.

Ensuite, à partir de treize heures, c’est le moment du réchaud, c’est-à-dire un petit dîner avec les restes de la veille, pour ne pas gaspiller ce qui n’a pas été consommé. Et bien sûr le tout accompagne de champagne. Par précaution, je passerai à l’eau assez vite pour ne pas m’endormir sur la route, la nuit ayant été assez courte.

On se quitte dans la joie et la bonne humeur, promettant de revenir début septembre pour la >Red Party que nos amis organisent pour fêter la fin de l’été.

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Champagne à volonté

25 février

Nous voilà partis dans la région rémoise, à Chigny-les-Roses pour être précis, à l’occasion de l’anniversaire d’une amie d’unif de ma bien-aimée.

Une bonne cinquantaine de personnes est conviée, en majorité des Français car Sophie, Belge d’origine, après avoir fait ses études, est partie exercer en France où elle a récemment rencontré son compagnon actuel, Thierry, Français. Mais nous sommes quand même trois couples d’amis d’enfance ou d’études, venus célébrer l’anniversaire d’une amie chère, et profiter non seulement du thème mis à l’honneur, la gastronomie belge, mais surtout goûter le produit régional.

Et nous ne sommes pas déçus, c’est champagne à profusion, les magnums se suivent et se vident pour notre plus grand plaisir, les mets sont classiques (moules frites, carbonnades, gâteaux au spéculoos, babeluttes), un peu à la sauce française, mais bons (mention spéciale pour les frites vraiment réussies).

La soirée sera donc bien arrosée, sans déraison, et se terminera à cinq heures du mat’ dans une bonne ambiance, vraiment génial, contents d’être venus.

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Manipulation honteuse

Nucléaire: qui est prêt à s’asseoir sur les nouvelles normes de sûreté?

C’est quoi ce titre tendancieux ? Une allusion selon laquelle les centrales nucléaires seraient prêtes à jouer avec la sécurité de leurs employés et des riverains ?

Les normes actuelles de sécurité empêchent Doel 1, Doel 2 et Tihange 1 de tourner au-delà de 2025. Pour prolonger ces trois unités, il faut donc raboter les exigences de sûreté.

Et on en remet une couche : il faut raboter ? C’est une obligation car la seule option ? Je ne pense pas que quiconque ne veuille relâcher les normes pour prolonger la vie des centrales nucléaires au-delà du raisonnable.

La fermeture, entre 2022 et 2025, des sept réacteurs belges (qui produisent une grosse moitié des besoins du pays) risque de mettre notre sécurité d’approvisionnement en péril. Et compter sur les pays voisins pour combler le manque, alors qu’ils sont eux-mêmes en train de gratter les gigawatts au fond du tiroir, n’est pas l’idée du siècle et elle nous a fait perdre du temps pour réinvestir à temps.

Qu’attend-on encore pour construire en nombre suffisant de nouvelles unités nucléaires répondant aux nouvelles normes de sûreté nucléaire, afin de pouvoir mettre à la retraite notre parc nucléaire actuel?

Ne cachons cependant pas que les opérateurs industriels privés sont frileux pour investir dans de nouvelles centrales. En effet la rentabilité de celles-ci n’est pas évidente : coût final de la gestion des déchets, taxation de sur-profits, sous estimation des coûts (voir Flamanville), nouvelles normes…

Le point important à considérer est que l’absence d’électricité en suffisance causera des dégâts économiques bien plus graves, certains et profonds qu’un peu possible séisme (la Belgique, c’est connu, est bien plus exposée que l’Italie ou la Grèce hein?). Quant à l’absence de centrales pour aller vers le « tout renouvelable » intermittent compensé prétendument par le stockage, cela rendra l’interconnexion des réseaux et la distribution de l’électricité simplement impossible à stabiliser en fréquence, voltage et courant. 

En conclusion: comment la Belgique va-t-elle respecter ses objectifs climatiques, tout en accroissant les besoins en électricité (voitures électriques, pompes à chaleur) ? En construisant des centrales à gaz à la place des centrales nucléaires à l’arrêt volontaire ? Le courant pour les voitures électriques viendra-t-il de la combustion du gaz ?

L’avenir s’annonce très incertain…

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Traîner en longueur, ça marche toujours

23 février

Serge Kubla condamné à 2 ans de prison avec sursis, à une amende pénale de 60.000 euros et à une confiscation de 600.000 euros pour corruption de mandataires politiques et de mandataires de sociétés congolais ainsi que pour blanchiment d’argent. Avec sursis, bien sûr !

L’ancien ministre wallon de l’Économie et ancien bourgmestre de Waterloo a admis avoir été présent lors de la remise d’une somme de plusieurs dizaines de milliers de dollars à un gérant de la Société nationale de Loterie (Sonal), une société congolaise de jeux de hasard. Cette remise d’argent avait eu lieu dans un restaurant à proximité de la place Flagey à Ixelles. Il s’agissait, selon ses termes, d’un « droit d’entrée de départ ».

En 2010, Duferco avait pris la décision d’injecter des fonds dans la Sonal, le but étant, pour l’entreprise sidérurgique, de se donner les chances d’obtenir des gisements miniers au Congo. C’est un homme d’affaires français, Daniel Sparza, qui avait pris contact, pour le compte de la Sonal, avec Serge Kubla, qui agissait comme intermédiaire pour Duferco au Congo et dans d’autres pays d’Afrique. Dans le cadre de ce contrat, des pots-de-vin ont été versés à des gérants de la Sonal et à des dirigeants politiques congolais, pour un montant de 500.000 dollars.

Le tribunal a néanmoins estimé qu’il n’était pas certain que la remise, par Kubla, d’une enveloppe contenant une somme de 20.000 euros, à l’épouse du Premier congolais de l’époque, Adolphe Muzito, dans un hôtel à Bruxelles, était de la corruption.

Le tribunal a ensuite acquitté l’ancien homme fort de Waterloo pour prise illégale d’intérêts dans le cadre de la recherche d’un repreneur du site des Forges de Clabecq après Duferco.

Enfin, il a reconnu Serge Kubla coupable de blanchiment d’argent, après avoir conclu que certaines sommes d’argent versées sur son compte en Suisse avaient une origine illicite. Ce compte avait été alimenté par des dépôts d’argent en liquide, issu de revenus pas toujours déclarés, avait avoué l’ex-politicien libéral.

Concernant la société Duferco et deux de ses dirigeants, le tribunal a déclaré certaines préventions prescrites et les a acquittés pour les autres.

Chère prescription qui fait honte à notre justice ! Les fraudeurs remercient cette loi votée par la Chambre et le Sénat, loi que les juges n’ont pas d’autre choix que d’appliquer, au plus grand bonheur des coupables et de leurs avocats qui peuvent faire traîner les choses jusqu’à l’obtenir.

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Toujours les mêmes qu’on vise

Un usager vulnérable est mort tous les deux jours en 2022. Le nombre de tués a fortement augmenté en Wallonie (229, +22 %) et à Bruxelles (de 6 à 21 tués). Il est en revanche en baisse en Flandre (271, -7 %). C’est assurément bien triste.

Parmi les usagers vulnérables – piétons, cyclistes et utilisateurs de trottinettes électriques –, 179 décès ont été recensés, soit pratiquement un décès tous les deux jours.

« Ces chiffres montrent une fois de plus que la sécurité routière en Belgique doit encore être améliorée. Il y a trop de victimes de la route en Belgique et ce sont autant de drames pour les familles concernées, que nous ne pouvons accepter », a réagi Georges Gilkinet, ministre de la Mobilité, après la publication des résultats du baromètre.

« J’ai pris l’initiative de lancer le plan All for Zero en collaboration avec mes collègues régionaux et fédéraux, avec pour objectif de lutter contre les comportements les plus dangereux au volant : la conduite sous influence, la distraction ou la vitesse », a-t-il poursuivi. « J’espère que le courage politique sera présent dans les prochains mois pour adopter les mesures concrètes qui sont sur la table, comme le retrait accéléré de permis en cas de consommation de drogues ou d’alcool, des sanctions plus lourdes en cas de vitesse très élevée, la mise en place de formation pour les automobilistes au comportement dangereux ou une lutte efficace contre la récidive de ces comportements dangereux au volant. »

Au volant : tout est dit, c’est encore une fois une attaque contre les automobilistes, les autres usagers étant des anges de la route, toujours victimes des dangereux conducteurs, et à jamais irresponsables de ce qui peut leur arriver.

Ceci étant, il serait bon pour leur sécurité que les usagers faibles ne le soient pas surtout d’esprit. Ils seraient déjà moins vulnérables si ils restaient sur les trottoirs, traversaient dans les passages en prenant garde à la circulation, ne se promenaient pas dans des zones sans trottoir dans le noir et sans vêtements visibles et, pour les trottinettes et vélos, restaient sur la route et tenaient leur droite au lieu de zigzaguer entre les véhicules.

Je dis cela mais qui suis-je pour oser critiquer les usagers faibles ? Bah, simplement un conducteur, piéton, cycliste à l’occasion, qui en a assez de voir les usagers dits faibles se comporter comme les maîtres des voiries, et de considérer le code de la route et le respect des autres comme des notions négligeables.

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Trolls de foire

21 février

Les trolls de Poutine me font rire quand ils démontrent leur subjectivité et leur mauvaise foi lorsqu’il s’agit de s’opposer aux dires des défenseurs de l’Ukraine.

Ainsi, Andreï Kourkov, auteur des « Abeilles grises », osant dire que « Poutine veut détruire l’identité ukrainienne », est critiqué, notamment parce qu’il vit à Stanford, aux Etats-Unis, et ne pourrait donc pas s’exprimer car, n’est-ce pas, quand on est parti de son pays, on la ferme.

Et quand il s’agit de parler de la culture ukrainienne, que les Russes s’empresseraient d’éradiquer s’ils gagnaient la guerre, les esprits s’excitent. Comparée à celle de la Russie, la culture ukrainienne serait inexistante, car il serait impossible de citer un compositeur ukrainien, un peintre ukrainien, un romancier ukrainien connu au-delà de sa rue. Dixit un troll qui côtoierait des Russes et des Ukrainiens, s’imaginant que son petit monde est représentatif. Si je me voulais condescendant, je pourrais dire qu’il n’y a pas de culture flamande car je connais à peine deux artistes flamands.

Et pour compléter leurs posts, ils ne manquent jamais de parler de fascistes ukrainiens, qui détruiraient le patrimoine russe sur leur territoire et voudraient réécrire l’histoire en effaçant tout ce que les Russes ont fait pour eux. Comme si l’Ukraine, les trolls perpétuant ainsi la propagande russe, leur avait de tout temps appartenu. C’est sûr, les Ukrainiens (ou quel que soit le nom qu’on veut donner aux peuples vivant sur ce territoire avant d’être annexé par la fédération russe) doivent dire merci pour les purges, les famines organisées, les déportations et autres gentillesses que les Russes leur ont fait subir au cours des siècles de dominance, tout comme ils doivent se laisser envahir aujourd’hui avec reconnaissance pour cette opération spéciale de libération du fascisme.

Petits trolls, vous êtes trop drôles derrière vos courageux pseudos, vous ridiculisant chaque jour un peu plus dans des attaques ridicules (et hélas souvent méprisables).

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Des chiffres sans intérêt

La FGTB tord le cou à «certaines idées préconçues» sur le chômage (wallon). Limiter les allocations dans le temps, accentuer leur dégressivité, renforcer les contrôles et les sanctions… Tout cela permettrait-il de réduire le chômage, surtout au sud du pays ? La FGTB wallonne conteste, chiffres à l’appui, ces différentes positions.

Toujours ces titres orientés ! Sans entrer dans le débat, j’aurais préféré : « La FGTB voudrait tordre le cou … « , car sa démonstration est loin d’atteindre cet objectif.

Surprenant quand même de prendre les données de l’Onem comme parole d’évangile alors que cet organisme est plus que critiqué et critiquable sur les résultats qu’il génère ! Personne ne nie que les syndicats ont eu un rôle important dans l’histoire sociale du pays, comme personne ne peut nier qu’à l’heure actuelle, leurs exigences et grèves à répétition sont devenues excessives.

Les chiffres n’engagent que la FGTB qui doivent plaider leur cause. Évidemment tous les Wallons ne profitent pas outrageusement du système, mais il y a des parasites qui gangrènent les finances. Comment expliquer à des chercheurs d’emploi que des chômeurs, avantages et privilèges compris, gagnent plus que des gens qui ont le courage de travailler ? PS et FGTB sont des adeptes du clientélisme et de l’assistanat.

Comme d’autres, la FGTB montre ce qu’il l’arrange. Si on utilise les mêmes études mais que l’on s’interroge sur la corrélation entre la durée chômée et l’emploi, on constate qu’il y a une corrélation entre la durée de chômage et la mise à l’emploi. Moins on est resté au chômage, plus on a de chance de trouver un emploi. Le problème est donc que l’employeur fait son marché parmi les demandeurs d’emploi qui sont au chômage depuis le moins longtemps, ne donnant plus aucune chance à ceux qui sont au chômage depuis trop longtemps. Ce qu’il faudrait, entre autres, c’est changer cette sélection, et sensibiliser les patrons à l’embauche des chômeurs de longue durée. Je dis bien sensibiliser, pas leur donner des primes qu’ils utiliseront à mauvais escient, c’est-à-dire pour prendre le pognon et virer les gens quand la manne est épuisée.

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Et on reste immergé

19 février

Je me sens mieux, et, malgré mon désir de thérapie, je laisse ma place à un autre participant, frustré la veille de n’avoir pu aller au bout de la thérapie ; cette fois-ci, après une longue bataille du mental, il pourra atteindre un certain niveau de libération.

En revanche, j’ai l’occasion d’être thérapeute pour Philippe, un patient généralement difficile à faire lâcher le contrôle, et je suis content d’avoir réussi, soutenu un peu par la, a lui faire vivre une belle descente dans le corporel.

Mais j’en sors, tout comme lui, épuisé, c’est difficile de se mettre en syntonie avec lui, et d’y rester nonante minutes sans ressentir une certaine fatigue.

Reste que je suis satisfait d’y être arrivé, c’est une première victoire pour moi.

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Dans le bain

18 février

Oufti, aujourd’hui on en prend plein la vue et les nerfs. Quelle tension, quelles pratiques, quelles libérations, on est bien épuisés, et il nous faudra bien plus que cette heure de danse en fin d’après-midi pour nous libérer de tout ce stress de la concentration. Surtout moi qui ai eu difficile à me régénérer durant la nuit : réveil en sursaut, les yeux brouillée pendant des heures, l’esprit pris dans un état second.

J’aurais bien voulu être patient mais je n’ai é »té capable que d’être co-thérapeute à deux occasions. Expériences intéressantes quand même, avec améliorations de mes interventions, même si je peux encore mieux faire pour aider le thérapeute.

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