Je suis le spasme qui anime les entrailles du monde
Je suis l’élève qui déplace le maître
Je suis l’ombre qui cache la lumière
Je suis le brouillard qui dérive aux confins des âmes
Je suis le flash qui éblouit les monstres du passé
Et puis…
Je meurs de ne pas te résister et je crève de te résister
Laisser un commentaire