Je fais la grève du texte aujourd’hui, par solidarité avec les étudiants qui ont galéré pour arriver à temps pour leurs examens, par solidarité pour les voyageurs étrangers bloqués dans nos gares, par solidarité pour les travailleurs empêchés de se rendre à leur gagne-pain, et par solidarité à tous ceux qui ont dû s’arranger avec les petits tracas inhabituels de la journée.
Laisser un commentaire