Thikem's Blog

Pour ne pas cesser d'écrire

Mémoire sélective

Jean-Marc Nollet face aux abonnés du « Soir » : « On peut se passer du nucléaire, on n’a pas à gaspiller l’argent du citoyen ».

C’ »est lui qui ose parler de gaspillage ? Je crois que ce gars a un fameux problème avec les souvenirs. Il n’y a pas si longtemps, il prônait les centrales au gaz et d’acheter aux pays pauvres le surplus de la pollution produite par ces centrales. Il parle du photovoltaïque alors qu’il était contre les installations des habitations privées ; e plus, son parti a déjà commis une grosse gaffe avec les panneaux photovoltaïques et cela a coûté un « pont » aux contribuables et aux consommateurs d’électricité. Il veut dépolluer mais ne fait qu’introduire des taxes sans apporter de solution (exemple les PMC qu’on retrouve pour finir le long de nos routes).

Nollet est un petit esprit citadin qui ne connaît rien à l’écologie. Il ne se préoccupe ni des citoyens des villes (cf plan Good Move, gel des projets immobiliers novateurs), ni des campagnes (absence de transport public, interdictions ineptes et multiples).

Tout qui doit s’acquitter d’une facture énergétique sait aujourd’hui parfaitement à quoi s’en tenir, se rend bien compte du caractère mensonger des affirmations du parti Écolo. Tout qui a investi dans du photovoltaïque en Wallonie sait qui a trompé le citoyen. Tout le monde voit aujourd’hui le gaspillage sans nom et le non-sens absolu que représentent la soi-disante « transition énergétique » et la « sortie du nucléaire ». En Allemagne, aussi, le mensonge est devenu apparent et commence à impacter lourdement l’industrie et l’économie allemandes.

On se demande encore comment tous ces mensonges ont pu convaincre qui que ce soit. Espérons que les urnes lui montreront toute l’étendue de la nuisibilité de son dogmatisme aveugle.

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Alliance douteuse

Une majorité alternative PS/Ecolo/PTB pour réformer le décret Paysage.

Une victoire à la Pyrrhus … Celle de la médiocrité et de la bassesse. Exactement comme à Bruxelles où on ne peut pas parler de protection animale. Des klettes qui sauvent d’autres klettes sur le dos de ceux qui les nourrissent.

On disait le PTB était prêt à s’accoquiner avec la NVA? Et maintenant il s’accoquine avec les PS/Écolo? Donc, en fait, PTB, c’est juste la roue de secours, le bouche-trou par excellence, prêt à se prostituer avec n’importe qui, à condition que ça foute le bocson partout où il passe. C’est çà le programme de PTB? Elle est belle la politique francophone belge!

Et dire que certains parviennent encore à s’étonner de ce que les Flamands pensent de la politique francophone …

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Choquant

13 avril

Ce qui me gêne souvent, c’est que le « Belge de souche » (ou le « bon Belge ») sera automatiquement catalogué de raciste, ou bien il aura tenu des propos assassins, condamnables, simplement parce qu’il aura suggéré la tenue d’un débat sur l’échec de l’immigration.

Alors que, dans le même temps, si les immigrés ou les groupuscules politiques ou les organisations qui les défendent disent que l’immigration n’est pas la réussite attendue, là, comme par magie, cela devient un simple constat d’échec et une demande légitime d’analyse du pourquoi les Belges ne font pas d’effort pour accepter les immigrés, et du pourquoi ils font de la discrimination (toujours négative, bien sûr).

C’est tout de même assez bizarre, non ? Dans un cas, c’est du racisme et donc tacitement dire que le seul coupable c’est le Belge qui est de mauvaise volonté ; dans l’autre cas, c’est une demande légitime afin d’amener le Belge à se remettre en question sur son manque d’effort pour intégrer les nouveaux résidents.

Moi, c’est ça qui me choque! Il n’y a qu’un seul coupable pointé du doigt, un seul qui doit changer d’attitude.

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Un seul coup dans l’aile ?

L’aéroport de Liège pourrait devoir arrêter ses activités du jour au lendemain, rapporte L’Echo ce mercredi matin. Les responsables de l’aéroport redoutent que le Conseil d’État ne leur rende un avis négatif, cassant le permis d’environnement validé par le gouvernement wallon le 31 janvier 2023.

En effet, l’auditeur du Conseil d’État a analysé le recours introduit par les associations Canapea et Dryade et il a annoncé demander l’annulation de ce permis. Si le Conseil d’État suit cet avis rendu par son auditeur, ce qui est probable selon l’analyse juridique de l’aéroport consultée par les enquêteurs de L’Écho, Liège Airport verrait ses activités cesser du jour au lendemain.

Le gouvernement wallon doit désormais rédiger un nouveau permis d’environnement pour l’aéroport, ce qui laisse au parti Écolo l’opportunité de renégocier avec ses partenaires de majorité, le PS et le MR, les conditions d’exploitation de Liège Airport, et notamment le nombre de mouvements d’avion autorisés annuellement.

Canapea et Dryade ? Que veulent donc ces associations de défense de la nature? Faire de Liège un désert économique ? J’imagine que non et j’espère que leur action n’a pas pour seul but de fermer l’aéroport. Et à propos d’action, ont-elles fait ou prévu quelque chose pour Zaventem ?

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He’s back…

Nouveau bras de fer entre le parlement wallon et son ancien greffier Frédéric Janssens. Évincé en janvier dernier du greffe de l’assemblée régionale, il conteste son éviction et porte le dossier au Conseil d’État. Il dénonce un « non-respect de l’État de droit ».

C’est là qu’on voit à quel point ce type est déconnecté de la réalité : il espère reprendre automatiquement un poste provincial qu’il a quitté il y a 15 ans pour aller s’en mettre plein les poches à la Région. Après quelques péripéties plus que douteuses, dont des menaces de morts à l’encontre de ses subordonnés, il vient encore faire parler de lui. Enfin on peut le comprendre, se trouver un job dans le privé, risque d’être bien compliqué, et pour un salaire bien moindre et sans se faire offrir des séjours sous le soleil.

Le droit administratif et plus encore, le droit disciplinaire qui en découle, sont extrêmement pointilleux. L’histoire ne s’arrête donc pas là. Comme il est politiquement impossible qu’il réintègre son emploi à la Région Wallonne mais qu’il n’est pas exclu que des fautes de procédure aient été commises par celles et ceux qui ont pris les décisions à son encontre, il n’est pas impossible qu’on s’oriente, à un moment ou à un autre, vers un règlement financier. 

Comme précisait un conseiller juridique d’un syndicat: s’intéresser d’abord sur les fautes de procédure, pour éviter les discussions sur le fond.

Moralité: (si il en a encore une) je n’ai rien fait, ce n’est pas moi, on me calomnie, mais si c’est moi, il y a prescription, injustice, dépassement du délai raisonnable. On hallucine mais, quelque part, il a bien raison d’agir ainsi, et espérer, grâce à un bon avocat, recevoir un  » ‘parachute doré « , ceci afin de cicatriser l’épreuve qu’il a subie, par un manque de compassion évident de tous ceux qui lui veulent du mal. Lui si gentil, si clean, si victime…

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Belle erreur

Proposition de moratoire sur le décret Paysage : PS et Ecolo sont allés au bout de leur logique. Ce mardi, ils ont déposé au greffe du parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (FWB) une proposition de décret « en vue de renforcer l’accessibilité aux études, de garantir la finançabilité des étudiants et d’instaurer un pilotage chiffré », c’est-à-dire en fait immuniser tous les étudiants des règles de finançabilité.

La gauche, comme d’habitude, donnons généreusement, d’autres paieront (toujours les mêmes bien sûr). Il y aurait encore plus simple donnons à tous un diplôme, sans leur faire passer d’examen : facile, non ?

Ode à l’assistanat et à la médiocrité ! C’est bien dans la ligne de la politique de ces partis qui protègent et donc entretiennent et encouragent la paresse, tout en décourageant l’innovation et l’esprit d’entreprise. L’important pour ces partis n’est pas d’améliorer notre sort, mais de recruter des électeurs et puis de les garder en leur ôtant tout désir de progresser et se prendre en charge.

Les autorités universitaires ont déjà donné leur avis sur le sujet: les tire-au-flanc ralentissent tout un auditoire et coûtent un bras en soutien, assistance, rattrapage etc. Ils n’ont simplement pas le niveau…

Le PS et Écolo sont toujours dans leur folle poursuite du PTB. Étudier signifie que l’on se consacre aux études et pas que l’on traînasse dans les couloirs des amphithéâtres a la recherche de l’invitation pour le prochain TD. Et désolé, tout le monde n’est pas destiné aux études universitaires.

De plus, plus tard ces diplômés aux rabais vont eux-mêmes probablement éprouver les pires difficultés, engagés dans des postes à responsabilité dont ils n’ont pas la capacité d’assumer la charge, ils risquent plus que tout autre de souffrir de burnout. Ils vont eux-mêmes se brûler les ailes et une nouvelle fois faire appel à la solidarité de tous.

Combien d’étudiants ont ramés en maths et en sciences pendant toutes leurs années secondaires, mais, parce que papa rêvait de les voir ingénieurs, se sont fait étriller à l’université. Au siècle passé, ces erreurs d’orientation ne leur coûtaient que maximum deux ans d’études. Aujourd’hui, a cause de notre laxisme, ces étudiants vont perdre cinq ans ou plus sur leur cursus.

Si le décret paysage passe, ils se verront obligés de se réorienter, pour leur plus grand bien si, au départ, ils avaient opté pour un costume qui ne leur conviendra pas. Au contraire, si on les laisse aller trop loin dans la mauvaise direction professionnelle, ils devront assumer, avec quelles conséquences, leur mauvais choix.

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Discours et faits

Les experts ont authentifié la revendication de l’attentat du Crocus City Hall par l’État islamique, Daech donc, et plus spécifiquement par sa branche dite du Khorasan, c’est-à-dire d’Afghanistan.

Poutine n’a pas apporté la preuve de ses accusations de collusion entre les terroristes et l’Ukraine, il faut donc faire attention au « narratif » russe qui servirait d’abord à justifier la guerre contre l’Ukraine, pas à faire la lumière sur l’attaque de vendredi.

Pour justifier aux yeux de sa population la faille de sécurité du 22 mars, surtout après la mise en garde américaine il y a trois semaines qu’il avait rejetée d’un revers de la main, Poutine veut mettre l’attentat dans le cadre de la guerre avec l’Ukraine et l’Occident. Explication simple – peut-être trop simple.

Et puis la Russie a mis tous ses efforts militaires, industriels, humains, face à l’Ukraine, au point d’en négliger la lutte contre le terrorisme. C’est l’une des grandes faiblesses des États de ne savoir gérer qu’une crise à la fois, la Russie le montre de nouveau.

Que sait-on du déroulé de l’attaque ? Des hommes armés ont fait irruption dans une grande salle de concert de la capitale russe, et ouvert le feu. On se demande aussi comment, dans un état aussi policier que la Russie où aucun éternuement ne passe inaperçu, ces quatre types parviennent à pénétrer dans un bâtiment en principe hyper protégé, alors que la CIA avait pourtant prévenu le FSB qu’un attentat se tramait. 

Les forces de police sont arrivées après le départ des assaillants. Pas de chance, on avait affaire à des figurants pas très doués. S’échapper à quatre, avec plus armes et bagages, dans une voiture de type Clio, cela relève de l’amateurisme, une voiture puissante aurait été plus utile en cas de poursuite. Mais chance quand même, ils sont cueillis à peine trois heures plus tard, sans résistance, par quelques policiers. Le scénario est d’une tristesse.

Les quatre individus originaires du Tadjikistan, une ancienne république soviétique d’Asie centrale, ont été arrêtés et leurs aveux, étonnamment rapides, ont aussitôt été exhibés sur les réseaux sociaux. Quelle aubaine, Poutine se rattrape auprès de la population russe qui devait, à juste titre, s’inquiéter de sa sécurité.

Trop beau pour être vrai ?

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A qui profite le crime ?

Au moins 115 personnes ont été tuées et plus de 140 blessées dans une attaque revendiquée par un groupe affilié à l’État islamique (EI) autoproclamé, bien que cette information n’ait pas pu être vérifiée de manière indépendante.

Un groupe d’hommes vêtus de tenues de camouflage et armés de fusils ont semé la terreur dans un auditorium où des milliers de personnes étaient venues assister ce vendredi à un concert de rock à la périphérie de la capitale russe, Moscou.

En plus de la terreur des coups de feu, le ciel de Moscou était teint en orange et une grande colonne de fumée traversait la ville, après que les assaillants ont incendié le toit du déjà célèbre hôtel de ville de Crocus, qui a abrité des artistes de premier plan.

Jusqu’à présent, onze personnes ont été arrêtées en lien avec l’incident. Quatre d’entre elles ont été directement impliquées dans l’attaque, comme l’a rapporté le chef des forces de sécurité au président russe Vladimir Poutine.

Les services de sécurité russes affirment que les suspects détenus avaient l’intention de franchir la frontière avec l’Ukraine. Kiev a qualifié cette affirmation d' »absurde ». Poutine n’a bien sûr pas hésité à accuser l’Ukraine d’avoir commandité l’attentat, profitant de cette aubaine pour passer sous silence sa ré-élection douteuse, un porte ouverte à un renforcement de la sécurité intérieure et à une intensification de la guerre contre le « terroriste ukrainien ».

On sait que l’État Islamique revendique parfois des attentats qui ne sont pas les siens, ou qu’il est manipulé par certaines puissances, et on voit mal l’Ukraine ou des nations occidentales tirer un avantage de cet horrible carnage. Et les détails de l’attaque, fort semblable à celle du Bataclan, fourniront peut-être des indices sur une possible mise en scène.

A suivre…

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On vise le fond

Plus de 50 % des élèves francophones fréquentent une « école ghetto ».

Le refrain est connu depuis des années : la Belgique francophone présente l’un des systèmes scolaires les plus inégalitaires de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Plus qu’ailleurs, les résultats dépendent du milieu d’origine. Aux épreuves Pisa 2022, la Fédération Wallonie-Bruxelles se trouvait, après la Hongrie et la Slovaquie, dans le top trois des pays les plus inégalitaires. Et ce, malgré les dizaines de millions d’euros injectés chaque année dans les écoles à indice socio-économique dit faible (98,6 millions en 2022-2023). En cause : l’organisation trop « libérale » de notre enseignement. Comprenez, le choix presque total des parents au moment d’inscrire leur enfant. C’est en tout cas ce que souhaite démontrer le service d’étude de l’APED (l’Appel Pour une École Démocratique ASBL), grand défenseur de la mixité scolaire, dans sa dernière analyse.

En clair: certains établissements scolaires ont un niveau qui serait bas. La question posée n’est pas d’améliorer leur niveau. Pas du tout: la solution seraient de faire subir ce niveau bas à tout le monde et à empêcher les parents d’inscrire leurs enfants dans une école d’un bon niveau. Bref, on nivelle par le bas et le tour est joué. Pas besoin d’améliorer le niveau de l’école. Mais c’est horrible comme solution plus que bancale.

La vision purement utilitariste de l’enseignement développée par l’APED ne correspond pas à la finalité de l’enseignement. Il ne s’agit en effet pas de produire à la chaîne les mêmes têtes carrées. Il s’agit plutôt de donner à tous les mêmes bases de départ indispensables au développement de chacun selon ses propres capacités, intérêts et sa volonté. Il paraît en effet évident que tous n’ont pas vocation à poursuivre une carrière intellectuelle de haut niveau ni à devenir le prochain Einstein – dont les résultats scolaires, soi-dit en passant, étaient plus que mitigés car ses intérêts étaient déjà ailleurs.

Comparer sur la seule base des résultats à la sortie des études est donc une erreur pour juger de l’efficacité de notre système d’enseignement, même si on admet qu’il faut bien un système d’évaluation objectif de la performance des établissements scolaires. En tirer alors des conclusions telles que la mise en cause du libre choix de l’établissement scolaire, dans les limites existantes, est réellement abusif, en particulier si ces conclusions paraissent entraîner en outre un nécessaire nivellement par le bas, contraire au principe même de l’enseignement qui est censé élargir l’horizon et non le limiter ou le restreindre.

L’APED confond l’égalité des chances avec l’égalité des résultats, et s’en prend à une liberté garantie par la Constitution pour imposer son pédagogie dogmatique. La mission de l’école est la transmission du savoir, pas d’instrumentaliser les enfants pour un illusoire projet sociétal basé sur une ignorance également partagée.

La multiculturalité a créé ce problème et ce n’est pas que pour l’enseignement. Certains arrivants ont cru que tout leur est permis mais oublient que leurs droits correspondent aussi à des devoirs (et pas uniquement voter à gauche), et certaines cultures, outre le handicap de la langue et d’un système d’écriture différents, sont rétives par rapport au contenu de notre enseignement !

Le choix d’école des parents est tout à fait légitime! Cela fait partie de leur mission d’éducation. Le problème en Belgique c’est qu’en trente ans certaines régions ont été l’objet d’une immigration massive; généralement peu éduquée et peu nantie. Cette immigration a fondamentalement changé la sociologie de certains quartiers, d’où un certain manque de mixité sociale. C’est peut-être regrettable, mais on ne va quand même pas mettre en place des quotas d’inscription débilitants pour pallier une politique d’immigration laxiste et irresponsable et un manque d’assimilation aux valeurs de l’Occident.

Depuis les « décrets inscription », il y a imposition de la mixité sociale. Et depuis ce moment, les connaissances en Belgique ont chuté. Car ce qu’ils ne comprennent pas (ou refusent de constater), ces décideurs et autres ONG, c’est que plutôt que l’émulation vers le haut des « moins favorisés » par les « plus favorisés », c’est l’inverse qui se produit, simplement parce que ceux qui ne veulent pas apprendre foutent un tel boxon ou mettent en place du harcèlement que ceux qui veulent apprendre n’en ont plus l’occasion. Et aujourd’hui, il est impossible, vu la bien bien-pensance actuelle, de mettre sur le côté les éléments perturbateurs.

L’idéologie de l’égalitarisme va handicaper toute une société qui se trouve en compétition dans un monde global. Les jeunes ménages diplômés commencent à chercher ailleurs un meilleur avenir pour leurs enfants et nos entreprises ont d’énormes difficultés à recruter du personnel qualifié. Pas un mot des conséquences sociétales sur les choix éducatifs, évidemment !…

Les gens qui en ont les moyens se tourneront vers le privé, ce qui entraînera encore plus d’élitisme ! Avec le Pacte dit d’Excellence, les parents soucieux de l’éducation de leurs enfants n’auront bientôt plus d’autres choix que l’enseignement privé ou l’enseignement à domicile.

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Qui est gagnant ?

Le semi-piétonnier de la chaussée d’Ixelles a rapporté des millions d’euros depuis sa mise en place.

Étonnante annonce, je me suis demandé qui a pu en bénéficier. Et puis, j’ai lu l’article.

En 2018, la chaussée d’Ixelles est devenue un semi-piétonnier avec une ligne de bus et une interdiction de circuler pour les voitures en journée, de 7 à 19 heures. Et depuis sa transformation , la chaussée d’Ixelles continue d’engendrer de nombreuses amendes. Cette situation a suscité rapidement de nombreuses critiques : face au manque de clarté des règles, de nombreuses amendes sont infligées aux automobilistes par les caméras ANPR.

Une situation peu claire qui poursuit un objectif financier ?

Sur les trois premiers mois suivant la mise en place du semi-piétonnier , plus de 15.000 sanctions administratives d’un montant de 58 euros ont été dressées, pour une somme totale approchant le million d’euros. Depuis lors, le nombre d’amendes s’élève en moyenne à 70.000 par an, ce qui génère environ 4,2 millions d’euros de recettes annuelles pour la commune. D’après le conseiller communal Geoffroy Kensier, le montant total des recettes de 2018 à 2023 inclus pourrait dépasser les 22 millions d’euros, selon l’Echo.

En attendant, les commerçants, eux, ont perdus des millions d’euros à cause des travaux. Mais bien sûr la Covid était la grande responsable, ce qui a permis à la commune de ne leur offrir que des miettes en guise de dédommagements.

Pauvre Bruxelles, gérée par des individus indignes d’une capitale.

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