Il y a ceux qui vous laissent faire tout le travail, sous prétexte qu’ils n’ont pas le temps et doivent faire des choses importantes… comme si vous n’aviez pas de vie en-dehors du boulot.
Il y a ceux qui se plaignent que leur chef leur donne trop à faire dans un planning serré mais ne s’empêchent pas de partir en vacances en plein coup de feu… escomptant bien que vous resterez fidèle au poste.
Il y a ceux, souvent les mêmes, qui arrivent en contrôleur des travaux finis, vous tapent dans le dos en disant: » NOUS avons bien travaillés en équipe », mais qui reçoivent seuls les félicitations et les primes… se gardant bien de révéler qu’ils n’ont rien foutu et ne méritent aucune louange.
A tous ceux-là, je voudrais dire qu’ils ont bien de la chance de vivre dans ces planques où la vanité et l’incompétence sont tolérées voire récompensées par une hiérarchie qui ne demande qu’une chose: qu’on ne secoue pas le cocotier auquel ils s’accrochent pour s’approprier le plus de noix possible.
Un jour prochain, je l’espère, on fera descendre ces pitoyables singes parasites de leur poste d’exploitation pour les remplacer par de vrais travailleurs.
N’y voyez rien de politisé, mais seulement un besoin d’équilibre et de respect mutuel!
Thikem's Blog 
Je ne suis encore qu’au lycée, mais j’ai l’impression que ce genre de choses restera fréquent parce que ceux qui ne font pas d’efforts n’ont aucun scrupules et ouvrent tout le temps leur grande gueule pour impressionner la galerie. Et les gens ont souvent plus d’yeux pour ce qui fait de grandes parades, et autres choses pas bien utiles. Et puis il y a surement des histoires d’affinités personnelles voire de retournement de faveurs (exemple tout à fait courant : machin a aidé son supérieur à planquer un cadavre, alors le supérieur lui a filé une prime de remerciement)
En effet, les beaux parleurs, les brasseurs de vent et les copinages intéressés ont encore de beaux jours devant eux, tant que les Hommes écouteront les flatteries, les vantardises et le crépitement de la poudre aux yeux, plutôt que la discrétion et les réalisations concrètes.